tri - angles
Les strates
de cet après-midi testent des configurations analogiques, quelques nœuds, des rappels qui toujours sonnent, résonnent de
ne pouvoir évoquer qu'une seule forme d'ouverture à la fois - et
cet fois dure - transfère, ciel de la présente, lui, elle, ou un autre, une
autre, des passants (il repassent et parfois on en reconnaît)...
Se tissent ("alors", prise à part) le croisement
des regards, prise en compte, passage, check-point dont la mise n'est que la conjugaison, la
conjuration d'une approche traduite, automatiquement interprétée,
de l'ombilic. Célèbre certes mais pour autant rarement entendu, originaire, d'un (bary-, exo-, épi-)
centre, centre comme phénomène, centre comme oubli programmé,
centre comme point de pivotement, découvert ou se côtoient surprise et fait de l'image.
(On ne pourrait qu'en dire les attendus, l'ange : Y perd des ailes...)
Condition
du mouvement, le triangle induit l'espace d'où s'interroge notre
volonté de présence, ce qui du désir y habite. ("Certains
l'appellent Demansion" et même "Il serait un fois à
Colonne" mis ici, plus qu'en pastiche, en perspective, fiction)...
[Angles, espaces réduits-ouvert, non clos, indicateurs d'un
partage en disputatio (gâteau, fromage), mal appelés ; mal
chantées un temps, par un autre : monades (l'encerclement cellulaire).
Angle dont il subsiste un point de fuite, d'absence (dièdre, pyramides,
icebergs, enfouissements, explosions), un sommet caché.]
1 jour = 1 heure |
il y aurait une idée du bonheur |
parfois aussi sa suspension |
comme un certain acharnement |
d'un regard des choses (à hauteur d'oeil) |
(domaine de l'enfant ?) |
vers plusieurs cellules |
te regarde |
|
le regard même ne suffit pas |
il ne suffit pas de compter les objets |
il ne suffit pas de les lire |
il ne suffit pas de regarder l'objectif |
il ne suffit pas la gêne |
rien spécialement ne t'obscurcit |
Les segments ne sont là comme images, perturbations? reliant 2 points.
La vue, vers d'autres images, appellent. quelque chose que pourrait ponctuer le rire...
Aucune de "toutes les images" n'est jamais montrée (et cette aucune est un
monstre de l'image ?)
Ange : Je l'appelle "Image".
Image : Je l'appelle "Passage de l'ange", "Ombre
portée".
N'oublie
pas ce qu'il reste.
© Pierre Gonzales
photos : Adèle Marchetti, Pierre Gonzales ; guest star : Hélène Bettencourt